Salut ! Je poste cette fic que je recommence a écrire !
Bonne lecture :
Notre histoire commence en plein désert . En ces temps troublés, la puissante «GUILDE » fais face aux attaques répétitives des villes de hunters voulant récupérer leur partie de Gardemine .
Au fil du temps, la Guilde perd de nombreux avant-postes et nombreux villages . Sa puissance diminue .
Même grâce a ses deux puissants villages Pokke et Kokoto, les autres villages de la guilde sont détruits .
Le village de Shalis fut parmi ses villages visés par les hunters rebelles . Il fut compté parmi les plus puissants villages de la Guilde avant d’ être réduit en cendre par la Grande Armée rebelle .
Depuis lors il fut reconstruit par une poignée de hunter encore assez forts pour supporter la morsure du soleil du désert .
Ce petit village perdu en plein désert est maintenant trop insignifiant pour attirer les rebelles . Il abrite une petite poignée de hunter ne dépassant pas le premier rang, étant donné que la Guilde n’ existe plus dans cet ancien glorieux village .
Les habitants ne peuvent se nourrir que d’ Apceros ou de leurs œufs . Mais les Apceros ne vivent qu’ a plusieurs lieues d’ ici . La route est difficile et les monstres y sont nombreux . Mais cela n’ empèche pas les chasseurs ( jeunes hommes du villages voulant nourri leurs familles ) du village de chasser pour leur famille . Malgré ça la famine écrase le village de jour en jour .
Chad fait parti des chasseurs depuis ses 13ans .
Un frais matin du mois de mai, il se réveilla a l’ aube, grogna plusieurs fois avant de daigner sortir du lit .
Il faisait encore noir . Chad attrapa son bol puis y versa une dose généreuse de lait avant de le boire en trois longue gorgées . Puis il attrapa son arc en bois et son carquois remplit avant de sortir de la maison .
Il faisait froid mais Chad ne s’ encombra pas d’ une veste, sachant que le froid du matin laisserai place a une chaleur torride dans quelques heures . Le désert était encore endormi .
Il n’ y avait aucun mouvement a des lieues a la ronde, pas un souffle de vent .
Chad attrapa une carte au passage pour ne pas se perdre . Il lui fallait trouver soit le « mur de l’ Ouest », soit l’ oasis la plus proche . Il choisi de trouver le mur de l’ Ouest .
Chad avait l’ habitude d’ aller chasser au mur de l’ Ouest . Cette énorme chaîne de montagne sépare le désert Alya du désert de Thano . Shalis, seul village du désert de Alya, est vraiment au centre du désert, séparé en 5 parties : Alya du centre, Thano de l’ Ouest, Norga du sud ,Zanubia de l’ Est et Tanya du Nord .
Le mur de l’ Ouest abrite nombreuses cavernes où les apceros viennent pondre . Chad remplit son sac de boisson fraîches puis sorti du village par la Porte principale . Une ombre se détacha de l’ obscurité pour barrer la route a Chad . Cet ombre se révéla être un homme plus haut de trois têtes de plus que Chad .
-Bonjour Chad, où vas-tu de si bon matin ?
-Tu vas pas me barrer la route a chaque fois que je vais chasser quand même Luryo, ça fais longtemps que tu y est habitué .
-Très bien, oublie ce que j’ ai dit dans ce cas … Tu peux y aller .
-Pour un gardien du village tu as la mémoire bien courte !
Luryo ne put s’ empêcher de rougir de la tête au pied .
-Oublie ce que j’ ai dit ! s’ exclama Chad avec un sourire radieux .
Puis il sorti du village, laissant Luryo fulminer en regagnant son poste . Il n’ eu aucun mal a trouver le sentier principal, long chemin sinuant entre les dunes et les cactus .
De tout évidence il ne devait pas être plus de cinq heures étant donné l’ absence du soleil . Après cinq minutes de marche, Chad pensa a regret a sa veste, pendu au porte-manteau du vestibule .
Puis il déplia la Carte pour connaître la distance le séparant du mur de l’ Ouest . Il manqua de déchirer la carte quand il compris qu’ il en avait pour au moins 2 jours aller-retour . Jusqu’ ici, il avait toujours fait la route sur le chariot tirés par les apceros de son oncle .
Malgré tout il continua a marcher, les yeux rivés sur la carte d’ Alya .
Son regard fut attiré par un grande oasis situé a l’ opposé de la où il allait . Puis son pied rencontra un obstacle invisible, il s’ étala de tout son long, déchirant sa carte en deux au passage . Après un flot de jurons étouffés, il ramassa l’ innocent caillou qui l’ avait fais chuter puis le lança au loin .
Puis il entreprit de ramasser les deux morceaux de carte, il ramassa le premier mais le deuxième avait disparu . Il jura tout haut puis donna un coup de pied dans un amas de sable, qui était enfaîte une petite montagne de pierre où il se coinça le pied .
-Nom d’ un chien !!! hurla Chad en tentant désespérément de se dégager . A quelques minutes a pied d’ ici, une vaste plaine sableuse comptant quelques palmiers éparpillés narguait Chad, coincé entre deux dunes avec un pied prit dans un monticule de terre séchée .
Après un effort herculéens, il parvint a dénicher son pied, mais la chaussure resta coincée … Il attrapa une pierre de la taille d’ un poing, puis la lança de tout ses forces sur le monticule . Ce qui eu pour effet de craqueler la terre . Puis il se jeta dessus, donna deux coup de pied, puis le monticule s’ effondra . Il récupéra sa chaussure puis se jeta dans la plaine, embrassant le sable avec amour . Enfin un terrain PLAT où il pourrait marcher sans se fatiguer .
Le soleil venait de se lever, Chad s’ assit a l’ ombre d’ un palmier pour se reposer . Puis il se servit de l’ ombre du palmier pour apprendre qu’ il était huit heure du matin .
Après deux minutes de pause, il se jugea prêt pour repartir .
A peine eu t-il fais trois pas que le sol se mit a trembler, puis trois nageoires couleur sable sortirent du sol . Chad attrapa son arc et encocha une flèche . Les monstres cherchaient a le désorienter en lui tournant autour .
Un des monstres sorti du sable en un saut, puis il rampa vers Chad a la façon d’ un poisson sous l’ eau . Les monstre était couleur sable, mesurait la taille de Chad . Deux petit yeux brillants fixaient Chad depuis une tête plate en forme de marteau . Un longue queue sillonée de fines veines se balançait derrière son dos courbé .
Le monstre s’ approchait de Chad aussi rapidement que sûrement . Chad décocha un trait qui se figea dans le flanc droit du monstre . Le monstre émit un grognement sourd mais continua sa course . Il se releva en un bon juste devant Chad, une fine odeur de sel emplit ses narines . Le monstre ne laissa pas le temps a Chad de se jeter par terre . En un éclair, Chad fut projeté au sol suite a un terrible coup de queue dans le visage .
Le goût âpre du sang lui remplit la bouche . Il respirai par petites saccades, le souffle coupé . Le monstre semblait insensible a la flèche plantée de son flanc .
Chad se releva avec difficulté puis sauta entre les pattes du monstre pour lui échapper .
Puis un deuxième monstre sorti l’ avant de son corps du sable et cracha un boule de sable qui frappa Chad en plein ventre . Une douleur sans nom envahit Chad de la tête au pied . Du sang s’ échappait de ses narines et de sa bouche . Après plusieurs roulades arrière suite a la boule de sable, Chad se retrouva devant le premier monstre . Le troisième tournait autour d’ eux sans sembler se décider de sortir du sable .
Chad tenta de réfléchir et, malgré son esprit embrouillé par la douleur, eu l’ idée de monter en haut du palmier le plus proche .
Rassemblant ce qui lui restait de force, il se releva puis couru vers le palmier derrière lui . Les trois monstres se jetèrent sur lui, trop tard . Chad montait déjà sur le palmier et atteignit le sommet en quelques secondes . Il s’ affala sur une branche pour reprendre son souffle . Les trois monstres avait regagné le sable puis tournaient en rond autour du palmier, tel trois requins autour de leur proie .
Chad choisi de dormir un peu pour évacuer la panique qui s’ emparait de lui a chaque inspiration . Cela fut difficile, mais il y parvint . Il dormi dix minutes avant d’ être réveillé par un brusque secousse de l’ arbre .
Il manqua de tomber mais réussi a trouver l’ équilibre . Il aperçu le monstre qu’ il avait touché au flan en bas de l’ arbre . Il donnait des coup de bélier pour déraciner l’ arbre .
Chad ne douta pas une seconde qu’ il y parviendrait étant donné la résistance du minuscule palmier . Prit de panique, il entreprit de trouver une issue, mais les deux autres monstres continuaient de tourner, lui barrant ainsi le chemin .
Le palmier oscilla dangereusement lorsque le monstre donna un second coup de bélier . Les racines de l’ arbre sortaient du sable, encore un coup pareil et l’ arbre serait déraciné .
Tout a coup, les deux monstres sortirent du sable pour rejoindre leur partenaire .
POUM .
L’ arbre s’ effondra dans un craquement sonore et Chad heurta le sole avec force . Il se tordit de douleur en entendant les pas des monstres se dirigeant vers lui . Il ouvrit les yeux, il était ensevelit par les quelques feuilles du palmier .
Il pria avec force que les monstres ne chercheraient pas dans les feuillages . Puis les pas se dirigèrent vers les racines de l’ arbre . Apparemment, les monstres n’ étaient pas aussi intelligents qu’ il n’ y paraît .
Chad se leva doucement, les monstres lui tournait le dos . Il s’ enfuit au triple galop, espérant que les monstres ne le remarquerait pas trop tôt .
Il couru sans s’ arrêter pendant dix minutes, puis s’ effondra, le souffle court . Le soleil était a présent complètement sorti de derrière les dunes et éclairait avec force la plaine sableuse .
Chad lança un regard en arrière, il distingua trois petits points au loin, le cherchant encore désespérément . Il essuya la sang séché sur son visage d’ un revers de manche puis reparti doucement tout en massant son ventre encore endolori .
« Quelle horrible matinée » pensait-il tout en marchant . Puis il s’ arrêta net, le teint livide, il passa sa main sur son arc, cherchant désespérément son carquois .
Il lança une bordée de jurons, retourna même sa petite chemise tachée d’ une substance collante produite du mélange de sang et sable, puis lança un regard dégoûté vers le palmier déraciné . Son arc ne serait plus d’ aucune utilité .
Puis, petit a petit, les dunes réapparurent a ses côtés . Cette fois si, Chad se senti protégé par ces immensités ensablées, et glissa un petit sourire en coin .
Les palmier avaient totalement disparus, le mur de l’ Ouest se trouvait encore a une mi-journée de marche lorsque Chad éprouva un besoin pressant . Il regarda autour de lui, rien a l’ horizon . Il se glissa derrière un petit buisson d’ épineux .
Trois minutes après, il retrouva le sentier puis continua sa route . Tout en enlevant les épines profondément plantées dans ses vêtements, dût au serpent surgit du sable, l’ obligeant a sauter dans les épineux, il pensa a sa famille . La famine ne pouvait durer, un jour ou l’ autre il faudrait trouver une solution, pensait-il .
Cela faisait a présent cinq heures que les monstres avaient attaqué Chad . Il régnait a présent sur Alya une chaleur torride, le soleil était haut dans le ciel . Il avait déjà bu deux de ses cinq breuvage rafraîchissants . Les monstres ne donnaient plus aucun signe de vie .
A quelques heures d’ ici, on distinguait déjà plusieurs montagne escarpées, surplombant Chad de toutes leur hauteur . Les montagnes du Mur n’ était pas ce qu’ on pouvait appeler ACCUEILLANTES . Elle ressemblaient a des monticules géant de terre effilochées .
Ces monts sont encore bercés de secrets, aucun homme n’ a jamais songé les traverser, préférant les contourner par Tanya ou Norga .
Chad lui même préférait chercher dans les grottes des premières montagnes . Et aujourd’ hui, son humeur n’ avait rien d’ exploratrice .
La lueur pâle du crépuscule commençait a recouvrir le désert lorsque Chad s’ arrêta devant la première montagne . Son ombre tordue lui laissait un peu de répit, même si il faisait toujours très chaud .
Plusieurs cavernes sillonnaient la paroi de la montagne . Chad dégaina son arc, puis le rengaina en pensant a son carquois perdu . Il lui faudra amener les œufs . Un hunter du village lui avait offert son sac, permettant de transporter de gros objets sans qu’ il pèsent sur son dos .
Il pénétra dans une grotte a pas de loup, puis repéra en un éclair des œuf d’ herbivores en grand nombre . Les apcéros était absent .
« Partis boire a la rivière » pensait Chad .
A peine eu t-il mit la main sur un œuf qu’ un bruit de pas retentit derrière lui . Chad rougit de colère et se retourna d’ un bloc, pour apercevoir un innocent caillou s’ étant décroché du mur sur le sol .
Il haussa les épaules puis réussi a prendre six œufs dans son sac . Lorsqu’ il sorti, la nuit était tombée . Le début de la soirée était entamé . L’ air se rafraîchissait .
Chad songea a s’ endormir, puis se sorti cette idée de la tête .
« je dormirai mieux chez moi » se dit-il .
Plusieurs heures après être parti, les montagnes n’ était plus en vue, Chad ressemblait plus a une flamme vacillante, prête a s’ éteindre, qu’ à un jeune homme en train de trembler de froid tout en remontant le sentier .
Il était congelé de la tête au pied, avait oublié de prendre des breuvages chaud, avait cassé son arc suite a une chute après s’ être marche lui même sur la cheville, avait juste une petit chemise d’ été tachée pour supporter une température en dessous de hivernale …
Le seul bon point était que les monstres ne donnaient plus signe de vie . Même lorsqu’ il passa a coté de l’ arbre déraciné, ils avaient disparu .
Le village entra dans son champ de vision l’ heure même où il était parti deux jour auparavant . Le soleil était encore caché derrière les dunes .
Luryo ronflait bruyamment, Chad aurai pris plaisir a le renverser si il n’ était pas aussi fatigué . C’ est a peine si il tenait debout .
Lorsqu’ il rentra chez lui, son oncle était endormi dans son lit et dormait a point fermé . Il se jeta dans le bassine d’ eau tiède, que son oncle avait préparé en anticipent sa réaction . Puis il enfila sa chemise de nuit et se jeta sur son lit, comme un fauve se serait jeté sur sa proie .
Il s’ endormi avant même de se glisser sous les couettes .
La suite dans le chapitre 2 : " Le désert cache bien son jeu " .
Aperçu du second chapitre :
Le soleil était à peine levé quand des clameurs réveillèrent Chad . Furieux, il ouvrit la fenêtre . Dehors, une cinquantaine d’ hommes en armure argentée avançaient en rang serrés vers le village . Leurs lourdes bottes frappaient le pavé avec un bruit sourd .
Mais le plus inquiétant, c’ était la dague rouge tatouée sur leurs casques et leurs boucliers .